GAMERADIO prend des vacances ! Retour de l'antenne et des émissions début septembre... En attendant, trés bon jeu a tous !
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‘Le Blog’

Bonjour à tous, je commence tout d’abord par m’excuser pour la durée de rédaction de cet article, mais vous savez ce que c’est, entre la fin de la scolarité, les résultats et le départ en vacance ! Enfin, mieux vaut tard que jamais donc voici un petit compte rendu de ma visite du :

Du 22 juin au 7 novembre se tient, au musée des Arts et Métiers, l’exposition temporaire MUSEOGAMES – Une histoire à rejouer –

Commençons par dire que l’exposition se tient dans un espace de 600m2, celle-ci est composée de plusieurs salles qui comprennent différents média pour parler de l’Histoire des jeux vidéo avec un grand H ! On y trouve des télévisions qui diffuse des vidéos comprenant de grands acteurs de l’Histoire des jeux vidéo, des consoles et bornes d’arcades jouables, des objets de la collection du musée ainsi que des citations sur les murs de personnes assez hétéroclites. C’est grâce au Musée des arts et métiers et à l’association MO5.com que l’expo à vu le jour car il faut savoir que les objets qui rentre dans la collection du musée ne sont plus consultable c’est pour cela que les créateurs de l’expo on fait appel à MO5.com pour avoir une expo participative et ludique.

L’exposition est faite en plusieurs espaces :

-          Première espace : « Start »

Petite mise bouche, cet espace propose des éléments de définition des jeux vidéo. On les trouve essentiellement sous forme de films :

  1. Qu’est ce qu’un jeu vidéo ?
  2. Game Makers : les métiers du jeu vidéo.
  3. Jeu video made in France.

Les trois films sont appuyés par les témoignages de grands noms du jeu vidéo tel que Balthazar Auger (Game Designer, Ubisoft), David Hart (Programmeur, DigDog Studio), Vincent Percevault (CEO, Game Audio Factory) ou encore David Cage (Fondateur de Quantic Dreams), Viktor Antonov (Directeur artistique sur Half Life 2), Nicolas Gaume (Président du syndicat national des jeux vidéo) et j’en passe des meilleurs !

-          Deuxième espace : « Collection »

Véritable musée temporaire présentant un grand nombre de pièces rares ou pas vraiment connues par le public. On y trouve des consoles, des ordinateurs, des jeux, des accessoires… Les pièces présentes, qui font parties de la collection du musée des Arts et Métiers sont l’avant-garde du jeu vidéo. Cette collection appartenant au musée, elle ne peut être utilisé ou consulté, seulement regardé avec envie.

-          Troisième espace : « Play »

C’est l’espace le plus récréatif, voir le plus interactif. La première chose que l’on remarque c’est l’immense table qui trône au milieu de l’espace entouré d’écran sur les murs un peu spéciaux. Mais commençons par la table, celle-ci est en deux parties : la partie centrale avec un grand nombre de console ancienne comme plus récente avec leurs contrôleurs et périphérique. Mais la seconde partie est bien plus amusante car c’est un voyage dans le temps à travers l’évolution des consoles et tous ça jouable ! Voici la liste des consoles et des jeux présents dans l’espace :

-          Pong (1972)

-          Pacman sur Atari 2600 (1982)

-          Missile Command également sur Atari 2600 (1981)

-          Donkey Kong sur CBS Colecovision (1982)

-          Minestorm sur MB Vectrex (1982)

-          Nemesis sur MSX (1987)

-          Arkanoid sur Atari 520 ST (1986)

-          Lemings sur Amiga 500 (1991)

-          Super Mario Bros sur Nintendo NES (1985)

-          Alex Kidd sur SEGA Master System (1986)

-          Sonic sur SEGA Megadrive (1991)

-          Super Mario Kart sur Super Nintendo (1993)

-          Metal Slug sur SNK NeoGeo (1996)

-          Rayman sur Atari Jaguar (1995)

-          SEGA Rally Championship sur SEGA Saturn (1995)

-          Tekken sur Playstation (1995)

-          GoldenEye 007 sur Nintendo 64 (1997)

-          REZ sur Dreamcast (2001)

-          Okami sur Playstation 2 (2007)

-          Top Spin sur Xbox (2003)

-          Star Wars Rogue Leader sur Nintendo GameCube (2002)

-          Tetris sur Nintendo Game Boy (1989)

Une des particularités de cette salle est que chacune des consoles a un écran personnel ainsi qu’un rétroprojecteur qui diffuse en temps réel la partie que vous faites sur le mur derrière vous ainsi tout le monde pourras vous voir mourir trois fois d’affilé au même endroit ou tout le monde pourra vous voir vaincre Bowser dans le dernier niveau !

Dans cet espace on trouve également des salons d’écoute qui diffuse différents reportages : « Une brève histoire du jeu », « Le jeu, c’est un métier », « Game Culture » ou encore « Usages en question du jeu vidéo ». On retrouvera dans ces reportages des personnes tels que Philippe Dubois (MO5.com), Hideo Kojima, David Cage, Peter Molyneux, Invaders (Artiste parisien qui pose des invaders en mosaïque dans la rue), et bien d’autre.

-          Dernier espace : « Game Over »

Ce dernier espace est un peu en accords avec l’espace « Play » mais il revient encore plus dans le temps car dans cette salle ce trouve plusieurs bornes d’arcade jouables. C’est dans une petite salle que l’on peut jouer à :

-          Space Invaders

-          Hologram

-          NBA Jam (Jeu de basket arcade en deux contre deux)

-          Police Trainer (Jeu de tir avec un pistolet en mode Time Crisis)

-          Out Run (Avec volant, pédale et même vibration quand on va dans le bas coté)

-          Radical Bikers (Jeu genre Crazy Taxi mais avec des livreurs en scooter)

-          Capcom vs Marvel

-          Donpachi (Shoot’em’up à scrolling vertical)

Voilà, pour le tour du propriétaire ! Vous avez également plusieurs conférences et ateliers à retrouver sur leur site internet : www.museogames.com

Il me reste à vous dire à bientôt et bon jeu !

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Pour voir l’intégralité des photos, c’est encore et toujours ici.

Nous touchons (déjà!) à la fin de ces trois jours enchanteurs…Voici le récit de ce Dimanche passé à la plus grande Foire aux Geeks de France : la dernière journée, mais pas la moindre !

Encore un monde fou et un soleil écrasant à l’entrée de la convention, encore une entrée prioritaire triomphale grâce à mon pass 3 jours ! Aujourd’hui, je suis arrivée tôt : la conférence ISART sur les métiers du jeu vidéo me tenait à cœur…

Au final, il s’agissait plutôt d’une présentation de l’école ; j’ai donc choisi de ne pas vous en rendre compte ici, mais plutôt dans un autre article/une prochaine émission dédiée à l’ISART. Toujours est-il que ce fut passionnant : l’occasion d’en apprendre plus sur l’une des écoles françaises de jeux vidéos les plus sérieuses…Et puis, enthousiasmée par la conférence et enhardie par l’exemple de Shoam (dont nous aimons tous les périlleux reportages), j’ai improvisé mes premières interviews ! Un grand merci donc à Alan, élève de l’ISART qui a patiemment répondu à mes bégaiements – un petit coucou si tu lis cet article – et m’a présenté au directeur-fondateur de l’école, M.Xavier Roussel ! Lui aussi a eu la gentillesse de retarder son déjeuner pour parler dans mon micro…(Inutile de dire que je n’en menais pas large avec mon petit dictaphone pourri et mes questions improvisées).

Si Guss-Le-Grand-Manitou le décide, vous retrouverez lesdites interviews dans le podcast – confirmation demain.

Ces émois journalistiques m’ayant mit en retard pour la suite de mon programme (c’est que l’emploi du temps est serré, à la Japan), j’ai dû traverser toute la convention au grand galop pour rejoindre le stand Kaze où se tenait la séance de dédicace Flander’s Company ! Ça n’a pas raté : je suis arrivée alors qu’elle se terminait…Encore un remerciement chaleureux, donc – cet article prend des allures de discours aux Oscars – pour le gentil vigile qui, me voyant arriver toute essoufflée avec mon coffret DVD ramené spécialement pour l’occasion et mes petits yeux de chiot battu, m’a fait discrètement passer sous la barrière…

Et le précieux résultat :

Puis, re-cavale dans l’autre sens vers le stand Square Enix…pour m’inscrire à la bêta Final Fantasy XIV ! Eh oui, l’accès était garanti à tout les visiteurs de la Japan – il suffisait de trouver une des babes qui rodait autour du stand…Un Gameradio Online Bêta FFXIV à prévoir, donc !

J’ai eu la chance d’arriver au stand à l’instant précis ou un énooooorme groupe de cosplayeurs Final Fantasy s’y retrouvait…

Et pendant tout ces allers-retours, j’ai évidemment eu l’occasion d’en croiser, des cosplayeurs…

J’ai enfin pu me poser en milieu d’après-midi : deux grands défilés de cosplays, le Syfy Universal et le European Cosplay Gathering, avaient lieu sur la scène principale. Hélas, cette fois-ci mon quota de coups de chance était bel et bien épuisé puisque je n’ai pas pu trouver de bonne place…Les photos sont un désastre sans nom, alors soyez gentils, ne vous moquez pas (trop) des quelques rescapés.

(Je vous conseille vivement d’aller voir les photos et les vidéos de ces cosplays disponibles un peu partout en ligne : j’ai eu beau mitrailler, le reflet d’un projecteur a pourri la quasi-totalité de mes photos. Il serait dommage de rater le Lapin Crétin ou le crossover Iron Man – Green Lantern à cause de cet échec !)

Et pour finir, comme prévu, le concours d’AMV…Un véritable festival de créativité, de rythme et d’émerveillement qu’il m’aurait été bien impossible de départager. Les résultats et tout les clips sont disponibles ici, alors ne vous privez pas ! Je me permets tout de même quelques recommandations personnelles, en vrac : Beast Within de Beat, Looking Glass de Safira, Faces de simofc90, Cyrillic Redux de Cenit, Un Autre Monde de Moumboutou, Digital Soul de pineska, Greenpeace de archivist, The Price of Freedom de Creed, Dreamer de Eleo, Pure Thrust de Nostromo et And Now A Word From Our Sponsors de Scintilla (indisponible en ligne, hélas). Régalez-vous et n’hésitez pas à poster votre propre palmarès dans les commentaires !

C’est ainsi que la Japan Expo 2010 s’acheva en beauté…

Qu’en retenir ?

  • Trois jours magiques et exceptionnellement geeks
  • De toute celles que j’ai faites, sans aucun doute la convention la plus spectaculaire
  • Un planning si dense qu’il en devient frustrant
  • Des goodies à gogo ! Des articles introuvables en France, parfois à des prix cassés
  • Le plaisir des références partagées, des discussions de fans…
  • Des stands pour tout les goûts – des magasins de goodies aux jeunes créateurs, aux expositions de culture japonaises, en passant par les projections et les conférences variées
  • Saint Seiya lives on !

Mais aussi :

  • Une foule absolument étouffante (et c’est une parisienne qui vous dit ça)
  • Et, si on veut jouer élitiste, un côté plus « grand public » que dans les autres conventions. La Japan est suffisamment médiatisée pour attirer les enfants amateurs de mangas (et leurs parents horrifiés), ou les midinettes lolita-goths-kawaii-fans-de-yaoï…(Je suis sur le Blog, alors je me permets d’avouer que cette dernière catégorie de population a tendance à me crisper).

Des inconvénients mineurs qui me font tout de même préférer les conventions plus confidentielles comme l’Epitanime, par exemple. Mais il ne fait aucun doute que les deux expériences sont complémentaires…

Un baptême réussi pour ma part, donc, et rendez-vous pris pour les éditions suivantes !

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Pour voir l’intégralité des photos, c’est (toujours) ici.

Avec un peu de retard, voici la suite de mes pérégrinations à la plus grande convention de France…Il y a tant à vous raconter que je ne savais par où commencer ! Une journée chargée en geekeries et en émotions que je n’oublierai pas de sitôt…

Quand je pense que je ronchonnais pour le RER blindé d’hier…Ce Samedi a relativisé à tout jamais ma conception de « foule », week-end oblige. La compression subie dans les wagons de transport hier, je l’ai expérimenté au centuple toute la journée…D’ailleurs, j’ai pu commencer la journée en me félicitant d’avoir acheté le pass 3 jours qui me donnait l’accès prioritaire : à vue de nez, la queue pour les caisses serpentait sur plus de 500m…Des milliers de personnes qui ont sans doute attendu 2 ou 3h pour rentrer, en plein soleil.

Après le chaos de ma visite d’hier, j’étais venue préparée avec un petit planning de tout les évènements à ne pas rater, mais la matinée commençait doucement : j’ai donc assisté à un petit concert de shamisen pour me mettre en appétit (et dans mon immense mansuétude, je vous en ramène une (mauvaise) vidéo).

(Malgré des années d’entraînement au clavier, mes bras sont incapable de tenir correctement un appareil de 200 grammes pendant plus d’une minute – allez comprendre).

Je ne m’y suis pas éternisée et j’ai profité qu’il était encore assez tôt pour errer dans les allées du salon en attendant le début des festivités proprement dites…L’occasion de traquer les cosplays et – je l’avoue – de retourner au stand Saint Seiya baver devant les figurines.

J’ai même recroisé le couple Yuri/Alice que j’avais raté hier, mais hélas, je n’ai pas dégainé l’appareil photo assez vite…Ce qui est bien dommage, car ils étaient incroyablement réussis.

Du côté « Culture Japonaise », il y avait un beau stand d’origamis : les visiteurs y apprenaient à plier des grues d’Hiroshima. Ce fut l’occasion de découvrir l’origine triste et poétique de cette belle tradition (attention, minute Wikipédia) :

« Quiconque plie mille grues de papier verra son vœu exaucé.

La grue d’origami est devenue un symbole de paix en raison de cette légende, et d’une jeune fille japonaise appelée Sadako Sasaki. Sadako fut exposée, enfant, au rayonnement du bombardement atomique d’Hiroshima. Elle devint alors hibakusha, une survivante de la bombe atomique. Ayant entendu la légende, elle décida de plier mille grues pour guérir. Elle mourut de leucémie en 1955, à l’âge de douze ans, après avoir plié 644 grues. Ses compagnons de classe plièrent le nombre restant et elle fut enterrée avec la guirlande de mille grues. »

Quand j’y suis passée aux alentours de Samedi midi, 560 grues ornaient déjà le stand ; je ne doute pas qu’ils en auront réunis 1000 d’ici demain soir !

Au détour d’une allée, j’ai aussi croisé deux fêtards échappés d’un matsuri :

Mais voici venue l’heure du plat de résistance : la présentation exclusive de FFXIV qui devait avoir lieu en début d’après-midi…Trois quarts d’heure avant le début annoncé, une foule incroyable se pressait déjà autour de la scène Jeux Vidéos ; c’est donc un miracle qui m’a permis de m’installer au deuxième rang (un miracle et un touchdown digne de Sébastien Chabal sur la dernière chaise disponible). Vous allez donc pouvoir profiter de la quasi-intégralité de la conférence (ainsi que des commentaires mesquins échangés avec mon voisin) grâce à mon appareil photo cheapos et à mes talents de caméraman tremblotante, bande de petits veinards.



(Le son crépite pour une raison que je ne m’explique pas…navrée).

À la fin de la conférence, M. Hiromichi Tanaka (le producteur du jeu) nous a fait l’honneur d’une petite visite :

(Non, vous ne rêvez pas : n’ayant pas trouvé de traducteur direct français-japonais, ils ont employé une traductrice intermédiaire en anglais…)

Après ces réjouissances, ce fut l’heure d’un choix terrible…Les organisateurs de la Japan sont sûrement des sadiques qui s’ignorent : comment expliquer autrement leur choix de donner des horaires absolument identiques aux deux évènements principaux de la convention, à savoir la séance de dédicace de Hideo Kojima et le World Cosplay Summit ? Je vous passe le dilemme, la rage et la frustration ; au final, j’ai réussi à tenir en joue les instincts de fans qui me hurlaient de faire la queue pendant des heures pour entrapercevoir mon idole parmi les gamedesigner, et je me suis rendue au World Cosplay Summit. Oui, je sais, solution de facilité – mais après m’être rendue à la conférence FFXIV, il m’aurait été impossible de l’approcher (les chanceux qui sont repartis avec une dédicace campaient là depuis l’ouverture). Et si ça peut vous consoler, j’ai quand même fait la queue des heures au WCS, voilà.

Rappelons tout de même que le WCS est le plus grand événement de cosplay mondial : chaque pays envoie un couple à Nagoya pour le représenter, et les cosplayeurs sont départagés sur leurs costumes (entièrement faits mains, évidemment) et leur chorégraphie. C’est donc au préselections françaises que j’ai pu assister cet après-midi.

Après le miracle du deuxième rang pour FFXIV, je pensais bien avoir épuisé mon quota de veine pour l’année…mais il faut croire que non, puisque j’ai à nouveau trouvé une place de rêve au troisième rang-milieu de l’immense salle ! (D’où l’avantage d’aller seul en convention : vous pourrez toujours vous faufiler vers LA chaise restée libre).

Ceux qui ont déjà tenté de photographier un spectacle avec effets-lumières et projecteurs éblouissants compatiront à mon malheur ; les autres se contenteront de se moquer mesquinement de mes photos lamentables.

(De toute façon, des centaines de photos et de vidéos sont mises en ligne au moment ou je vous parle – une petite recherche devrait vous rassasier).

Ce sont mes préférées qui ont gagné : Marudashi et Morodashi de XXXHolic.

Mais voici bientôt l’heure de la fermeture (déjà) ! Pour boucler cette riche journée, j’ai couru assister à la fin du concours national d’AMV. Ah, les AMV…Encore un truc de conventions que j’adore – qui a déjà admiré un AMV de concours sur écran-cinéma et partagé son émerveillement avec le reste du public ne peut plus jamais apprécier les AMV Youtube sur petit écran d’ordinateur. Aujourd’hui, je n’ai pu voir que les tout derniers, mais le concours sera à nouveau projeté demain et je compte bien y assister : je vous en parlerai plus en détail…

Et pour conclure ce second compte-rendu, laissez-moi à nouveau baver sur mes trouvailles du jour :

Eh oui, de la lecture, aujourd’hui ! Un stand « Mangas à 3€ » m’a accroché au passage…

  • L’intégrale de Lineage, un excellent manwha inspiré du MMORPG coréen éponyme
  • Les trois premiers tomes de « L’enfant aux trois yeux » de Tezuka – une de ses oeuvres moins connues, j’ai hâte de découvrir

Et dans un genre plus futile :

Oui, j’ai craqué pour des badges geeks, moi qui déteste ce genre de crétineries communautaires d’habitude…Voilà, comme ça ce sera écrit au milieu de ma figure et je pourrai faire peur aux gens dans le métro.

Et à demain pour de nouvelles aventures – les dernières, hélas !

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Red Dead Redemption est un gros succès commercial et c’est pourtant l’un des titres les plus « Buggé » de l’histoire des jeux vidéos ! Recevant  un accueil dithyrambique de la part de toute la presse spécialisée (ou non d’ailleurs…), le jeu de Rockstar affiche sans complexe ses défauts.

Si vous n’avez pas vous même rencontré les aberrations qui pullulent dans le jeu, vous avez certainement déjà visonné une ou deux vidéo consacré à l’une ou l’autre de ces étrangetés. Si ce n’est pas le cas, en voici une pour la route, la dernière en date. Après la femme à tête d’âne, voici le cheval volant qui parle !

On les aime bien ces bugs finalement.

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Pour voir l’intégralité des photos, c’est ici.

La vie à Paris, c’est plein d’inconvénients. La foule. La pollution. La foule. Le bruit. La foule. Les dangers. La foule, la foule, la foule.

Mais la vie à Paris, ça a aussi quelques avantages. La vie culturelle. Les potes. Les magasins retro-gaming. Les clubs de JdR. Et les conventions. Ah, les conventions.

C’est génial, les conventions: pour une journée ou deux, on a le sentiment d’être parfaitement intégré à une communauté – immergé dans un monde ou les gens s’intéressent aux mêmes choses que vous, aiment les mêmes choses que vous, un monde ou vous pouvez adresser la parole à un parfait inconnu sur un coin de stand et baver sur Portal 2 ensemble, un monde ou vous êtes entourés de bribes de conversations qui portent sur le nouveau système de jeu D&D, le dernier épisode FMA ou la mise à jour de la semaine pour Left4Dead 2. Un sentiment un peu illusoire sans doute – n’empêche que j’adore les conventions.

Du coup, j’en fait beaucoup : l’Anim’Est, la Manga Expo, le Monde du Jeu, l’Epitanime…Par contre, la Japan, c’était nouveau pour moi : jusqu’ici, je m’étais toujours débrouillée pour la rater (il faut dire qu’elle choisit toujours LA date de départ en vacances). Mais bon, aimer les conventions sans jamais tenter la Japan, c’est un peu comme aimer les J-RPG sans jamais jouer à Final Fantasy : c’est rater quelque chose ! Alors cette année, je me suis arrangée et j’ai enfin pu effectuer mon pèlerinage à la Mecque des geeks français.

Pour ceux qui dormaient au fond, la Japan est la plus grosse convention française consacrée aux mangas, à la japanimation, aux jeux vidéos et à la culture populaire japonaise en général. Vous l’aurez compris, c’est tout simplement la Foire aux Geeks, qui accueille chaque année plus de 100 000 visiteurs.

Ce qui me faisait un peu peur, parce que – comme vous l’avez astucieusement deviné en lisant l’en-tête de cet article – la foule, c’est pas trop mon truc. Surtout que je m’étais soigneusement organisé et que j’avais donc oublié d’acheter mes billets à l’avance : je me voyais déjà patienter 2h à l’entrée sous le soleil meurtrier (oui, ici aussi, on fond sur pieds). Et bien figurez-vous que non : je suis rentrée tout de suite en arrivant vers 12h, et je peux vous dire que c’était un plaisir de traverser directement les centaines de mètres prévus pour la queue. Je soupçonne que les courageux arrivés dès l’ouverture (11h) étaient déjà rentrés, tandis que la masse des flemmards débarquant vers 14h n’était pas encore là. J’ai donc pu acheter mon pass sans aucune attente, ce qui devrait me permettre d’éviter la queue demain et après-demain…Car oui, j’ai oublié de préciser que la Japan se tient sur 4 jours – du 1er au 4 juillet cette année. J’ai payé 31€ pour pouvoir m’y rendre Vendredi, Samedi et Dimanche, et je vous garantis que ça vaut le coup.

Me voilà donc à la Japan Expo ; laissez-moi vous dire que, même habituée aux conventions, ça fait un choc. En fait, vous pouvez vous rendre directement à la fin de l’article puisque cette première journée a étée consacrée presque exclusivement à l’ « exploration » – comprendre que je me suis perdue, re-perdue et re-re-perdue dans cette immensité. Bon, je savais que la Japan serait plus « commerciale » que les conventions un peu plus confidentielles dont j’ai l’habitude – c’est une autre échelle, aussi ! Il y avait donc des stands à perte de vue, avec des espaces distributeurs mangas, des fanzines, des bornes de jeu vidéo, des salles de projection, des scènes événementielles, d’innombrables activités…Voici le plan et le programme (pour le Vendredi seulement !), histoire de vous donner une idée :

Cette première journée a donc principalement étée consacrée à l’errance…C’est le plus grande joie des conventions : errer entre les stands et parler avec les gens, sachant qu’ils discuteront avec plaisir. En une journée, j’ai pu discuter de Japanim, de jeux vidéos et de JdR plus que je ne le fait en un an…Et puis il y a les cosplayeurs ambulants.

Pas de bonne convention sans cosplayeurs ambulants ! C’est sans aucun doute ce que je préfère – je rêve d’avoir un jour le temps, la motivation et les amis réunis pour me lancer et faire un boooo groupe. Mais pour l’heure, j’ai dû me limiter à les mitrailler avec mon appareil…Voici quelques morceaux choisis :

Dédicace spéciale à Kalhamn...

Oui, vous avez le droit de vous moquer de mes « talents » de photographe. Je m’en fiche – ceux qui ont déjà tenté de prendre des photos dans une convention pleines de gens qui vous passent devant et vous bousculent comprendront ma douleur.

Je ne vais pas vous faire le récit intégral des stands que j’ai visité…Il y eut un arrêt prolongé aux stands de GN (Jeu de Rôle Grandeur Nature) pour admirer les costumes, les armes et les protections en cuir faites mains. Il y eut un petit passage au mini-musée du jeu vidéo rétro, histoire d’assister au tournoi de Bomberman.

Il y eut aussi quelques combats improvisés de Super Smash Bros Brawl où j’ai eu le plaisir d’affronter une véritable championne – sans aucun doute la meilleure joueuse que j’ai jamais rencontré sur ce jeu. J’ai également erré du côté des stands « culture japonaise » pour regarder les démonstrations de Kyûdô, de Kendô ou de méditation.

Et puis il y eut un arrêt très prolongé sur le superbe stand de la Capucinteam, une association de création de dioramas particulièrement dédiés…aux Chevaliers du Zodiaque. (Kalhamn, je t’entends facepalmer d’ici). Ne vous étonnez donc pas de l’abondance de (mauvaises) photos dans la galerie…Et quel plaisir ce fut de discuter avec les créateurs, de se remémorer les plus grands moments de la série et de troller ardemment pour élire le meilleur Chevalier d’Asgard ! (Mime, you rock). C’est pour ce genre de débats geekissimes et endiablés qu’il faut aller en convention.

Je me suis ensuite rendue dans la zone d’activités pour participer au Quizz 100% Final Fantasy…  « De quel jeu vient cette musique ? » « De quelle académie vient Irvine? » « Quel est le nom de cet ennemi ? » « Quelle est la capacité spéciale de Terra ? » « Comment s’appellent les jumeaux de FFIV? » « Qui est le character designer des premiers FF ? »« Quel job de FFV permet d’apprendre à porter une hache ? » « Quelle préquelle d’un célèbre FF n’est sortie qu’au Japon sur téléphone portale ? » « Qui est Hilda ? » « Dans FF Crystal Chronicles, qui porte le Calice en jeu solo? » « Que fait le roi après que vous ayez sauvé la princesse Sarah ? » « Comment s’appelle la Matéria portée par Aerith ? » « Qui est l’interprète de cette chanson ? » « Quel est le signe physique distinctif des Invokeurs dans FFIX ? » « Combien de jeux FF premier du nom ont étés vendus au Japon ? » Ramassage des copies ! Le vainqueur a fait 43/50, et je ne devais vraiment pas être loin derrière (sans doute autour de 40/50, à cause de quelques erreurs crétines – confondre le thème de combat de FF III et FF IV, quelle honte).

J’étais ravie d’avoir fait ce quizz, mais un rabat-joie de pote vient de se faire un plaisir de me dégouter en m’annoncant que j’avais raté le défilé de cosplay qui se déroulait pendant ce temps…avec notamment un groupe Chevaliers du Zodiaque (aaaargh) et un couple Yuri/Alice de Shadow Hearts (AAAAARGH). Merci, pote.

Bref, passons : cette première journée assez tranquille s’est terminée au stand Square Enix, que mon portefeuille a eu le malheur de croiser alors que je me dirigeais vers la sortie…Pour ma défense, ils pratiquaient des prix vraiment cassés sur des articles absolument introuvables en France. Et ils exposaient de nombreuses pièces en avant-première, dont (ENFIN) la seconde série de Trading Arts Dissidia que j’attendais depuis un bon moment et qui ira rejoindre la première sur mon étagère dès sa sortie à l’hiver prochain (oui, je suis une fan dans toute son horreur, parfois).

Je m’étais réjouie du peu de gens à l’entrée ? Je n’aurais pas dû : Murphy s’est empressé de me pourrir la sortie…Petite photo des couloirs du métro, prise à bout de bras et sur la pointe des pieds alors que j’étais écrabouillée de part et d’autre…Ça se passe de commentaires (et je ne vous parle même pas du RER, blindés de gens – et donc d’aisselles – par 35°).

Ainsi s’achêve donc cette première journée d’exploration de La Grande Convention…Afin éviter un autre cafouillage du style ratage de cosplays, je me suis préparée un planning pour demain à partir des programmes en ligne, ce qui n’est finalement qu’une autre façon de se dégouter puisque tout les trucs intéressants tombent aux mêmes heures. Avant de terminer ce compte-rendu beaucoup trop long qui mange sur mon temps de sommeil récupérateur, je ne résiste pas à l’envie de vous montrer ce que j’ai ramené du stand Square Enix…

  • La première série des Final Fantasy Creatures qui me faisait baver depuis longtemps (aaah, Terra sur son Magitek)
  • L’édition limitée de l’OST de Dissidia, avec livret d’illustration par Yoshitaka Amano et remix inédits de nombreuses pistes originales…
  • L’OST de FFVII que je cherchais depuis longtemps (infernale à trouver en version certifiée sans contrefaçon)
  • Les deux premiers albums des Black Mages, introuvables en France (un groupe dirigé par Nobuo Uematsu qui fait des remixs métals des OST Final Fantasy)

Toutes ces merveilles vont rejoindre ma petite collection, tandis que je vais moi-même rejoindre mon lit.

À demain pour de nouvelles aventures !

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ファミコン動画にあわせてヴァイオリ ン演奏  »スーパーマリオ Bros.編 »

Que dire de plus ?

Peut être que grâce aux jeux vidéo, le son d’un violon et la performance d’un soliste classique peut être amusante et divertissante. Un grand moment de virtuosité qui ne laissera aucun gamer insensible en tout cas !

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La Wii est devenue la reine des consoles proposant les accessoires et les périphériques les plus dingues jamais imaginés, fabriqués et commercialisés.

Après les ailes en plastiques et le kart gonflable voilà ce que l’on risque de pouvoir trouver en magasin à la sortie du jeu Epic Mickey !

Vous ne rêvez pas, il s’agit bel et bien d’un nunchuck en forme de gros pinceau …

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